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Le projet de Philippe Grill est d’enquêter sur les origines et les fondements des doctrines et théories relatives aux libertés et à l’égalité. Son approche est proprement philosophico-économique, au sens où elle s’appuie sur l’une et l’autre discipline. Cette exploration conceptuelle des théories économiques et philosophiques, des hypothèses qui les fondent, des notions qui les irriguent, ou encore des masses de données empiriques aux interprétations multiples, voire contradictoires, se révèle cruciale car c’est à partir de ces doctrines et théories que sont conçues et promues les organisations sociales et les politiques publiques qui déterminent « dans quel monde on vit », en décrétant le possible et l’impossible en ces domaines. L’ouvrage contribue ainsi pleinement aux débats actuels d’éthique sociale en fournissant les moyens de définir ce que pourrait être une organisation sociale « humaniste ».
En effet, si l’on veut changer le monde, il faut le comprendre… Sereinement, pédagogiquement, c’est notamment à cette compréhension maximale que nous invite Philippe Grill. La somme encyclopédique qu’il nous propose déploie le panorama d’une philosophie économique où sont convoqués les savoirs contemporains issus de nombreuses disciplines (outre les sciences économiques bien sûr, les autres sciences sociales, la logique, l’épistémologie, les sciences cognitives, les neurosciences, la biologie de l’évolution, etc., ainsi que les engagements ontologiques des nombreux penseurs que l’ouvrage étudie). Ici, point de simple juxtaposition de disciplines, mais une architecture des connaissances qui veut montrer que les conceptions idoines sont nécessairement connexes si l’on entend démêler l’écheveau d’un homo œconomicus authentique, renversant le modèle factice que rabâchent les propagandistes de vulgates économiques outrancièrement simplistes et irréalistes. Ainsi, ce livre est un puissant levier de ce mouvement salutaire. Moins
Le projet de Philippe Grill est d’enquêter sur les origines et les fondements des doctrines et théories relatives aux libertés et à l’égalité. Son approche est proprement philosophico-économique, au sens où elle s’appuie sur l’une et l’autre discipline. Cette exploration conceptuelle des théories économiques et philosophiques, des hypothèses qui les fondent, des notions qui les irriguent, ou encore des masses de données empiriques aux interprétations multiples, voire contradictoires, se révèle cruciale car c’est à partir de ces doctrines et théories que sont conçues et promues les organisations sociales et les politiques publiques qui déterminent « dans quel monde on vit », en décrétant le possible et l’impossible en ces domaines. L’ouvrage contribue ainsi pleinement aux débats actuels d’éthique sociale en fournissant les moyens de définir ce que pourrait être une organisation sociale « humaniste ».
En effet, si l’on veut changer le monde, il faut le comprendre… Sereinement, pédagogiquement, c’est notamment à cette compréhension maximale que nous invite Philippe Grill. La somme encyclopédique qu’il nous propose déploie le panorama d’une philosophie économique où sont convoqués les savoirs contemporains issus de nombreuses disciplines (outre les sciences économiques bien sûr, les autres sciences sociales, la logique, l’épistémologie, les sciences cognitives, les neurosciences, la biologie de l’évolution, etc., ainsi que les engagements ontologiques des nombreux penseurs que l’ouvrage étudie). Ici, point de simple juxtaposition de disciplines, mais une architecture des connaissances qui veut montrer que les conceptions idoines sont nécessairement connexes si l’on entend démêler l’écheveau d’un homo œconomicus authentique, renversant le modèle factice que rabâchent les propagandistes de vulgates économiques outrancièrement simplistes et irréalistes. Ainsi, ce livre est un puissant levier de ce mouvement salutaire.
Le projet de Philippe Grill est d’enquêter sur les origines et les fondements des doctrines et théories relatives aux libertés et à l’égalité. Son approche est proprement philosophico-économique, au sens où elle s’appuie sur l’une et l’autre discipline. Cette exploration conceptuelle des théories économiques et philosophiques, des hypothèses qui les fondent, des notions qui les irriguent, ou encore des masses de données empiriques aux interprétations multiples, voire contradictoires, se révèle cruciale car c’est à partir de ces doctrines et théories que sont conçues et promues les organisations sociales et les politiques publiques qui déterminent « dans quel monde on vit », en décrétant le possible et l’impossible en ces domaines. L’ouvrage contribue ainsi pleinement aux débats actuels d’éthique sociale en fournissant les moyens de définir ce que pourrait être une organisation sociale « humaniste ».
En effet, si l’on veut changer le monde, il faut le comprendre… Sereinement, pédagogiquement, c’est notamment à cette compréhension maximale que nous invite Philippe Grill. La somme encyclopédique qu’il nous propose déploie le panorama d’une philosophie économique où sont convoqués les savoirs contemporains issus de nombreuses disciplines (outre les sciences économiques bien sûr, les autres sciences sociales, la logique, l’épistémologie, les sciences cognitives, les neurosciences, la biologie de l’évolution, etc., ainsi que les engagements ontologiques des nombreux penseurs que l’ouvrage étudie). Ici, point de simple juxtaposition de disciplines, mais une architecture des connaissances qui veut montrer que les conceptions idoines sont nécessairement connexes si l’on entend démêler l’écheveau d’un homo œconomicus authentique, renversant le modèle factice que rabâchent les propagandistes de vulgates économiques outrancièrement simplistes et irréalistes. Ainsi, ce livre est un puissant levier de ce mouvement salutaire. Moins
Le projet de Philippe Grill est d’enquêter sur les origines et les fondements des doctrines et théories relatives aux libertés et à l’égalité. Son approche est proprement philosophico-économique, au sens où elle s’appuie sur l’une et l’autre discipline. Cette exploration conceptuelle des théories économiques et philosophiques, des hypothèses qui les fondent, des notions qui les irriguent, ou encore des masses de données empiriques aux interprétations multiples, voire contradictoires, se révèle cruciale car c’est à partir de ces doctrines et théories que sont conçues et promues les organisations sociales et les politiques publiques qui déterminent « dans quel monde on vit », en décrétant le possible et l’impossible en ces domaines. L’ouvrage contribue ainsi pleinement aux débats actuels d’éthique sociale en fournissant les moyens de définir ce que pourrait être une organisation sociale « humaniste ».
En effet, si l’on veut changer le monde, il faut le comprendre… Sereinement, pédagogiquement, c’est notamment à cette compréhension maximale que nous invite Philippe Grill. La somme encyclopédique qu’il nous propose déploie le panorama d’une philosophie économique où sont convoqués les savoirs contemporains issus de nombreuses disciplines (outre les sciences économiques bien sûr, les autres sciences sociales, la logique, l’épistémologie, les sciences cognitives, les neurosciences, la biologie de l’évolution, etc., ainsi que les engagements ontologiques des nombreux penseurs que l’ouvrage étudie). Ici, point de simple juxtaposition de disciplines, mais une architecture des connaissances qui veut montrer que les conceptions idoines sont nécessairement connexes si l’on entend démêler l’écheveau d’un homo œconomicus authentique, renversant le modèle factice que rabâchent les propagandistes de vulgates économiques outrancièrement simplistes et irréalistes. Ainsi, ce livre est un puissant levier de ce mouvement salutaire. Moins
This book examines the economic policies that will underpin the evolution of growth in industrialised economies in coming decades. The change in focus of policymakers away from short-term regulation and policies towards problems of structural change is discussed in relation to the Taylor rule and Fisher relationship. Both empirical observations and quantitative analyses are utilised to explore diverse but interrelating topics, including interest rates dynamics, macroeconomic equilibrium, economic vulnerability, poverty and inequality, environmental sustainability, and monetary and fiscal policies.
This book aims to propose policies that can produce economic growth without compromising social stability and environmental balances. It will be of interest to researchers and policymakers working within economic development and policy.
Souvent appréhendés à l’échelle internationale, ces acteurs sont ici étudiés dans leurs relations situées avec l’État, à partir d’une approche empirique et localisée. Parce qu’ils s’engagent dans les politiques de développement, ils deviennent des partenaires tolérés par le pouvoir selon différentes logiques de « décharge ». Tandis que leur périmètre d’action est soigneusement négocié avec les autorités publiques pour des raisons matérielles, statutaires et sécuritaires, la pérennité de leurs actions est due, entre autres, à leur capacité à négocier des combinaisons d’imaginaires politico-religieuses, ce qui ne les empêche pas de participer aux rapports de domination existants.
Le rapport entre positif et normatif est une question méthodologique et théorique centrale en économie. À ce titre, les débats de la littérature spécialisée réclament une synthèse précise, à défaut de la cartographie exhaustive qui paraît une gageure. Le présent ouvrage le reconnaît volontiers en montrant qu’il est pertinent de revenir sur ces enjeux et qu’il est opportun d’élaborer ou d’ouvrir certaines perspectives jusqu’ici peut-être moins explorées.
Le point de vue des coordinateurs de ce volume part du constat que l’étude du rapport entre positif et normatif reste précieuse pour la pensée et la philosophie économiques : l’enquête met en évidence des distinctions essentielles, entre normes, valeurs et faits, ou entre l’activité de description, la prescription et l’évaluation, et concernant des notions comme la causalité dans le champ épistémique, la justice et l’intérêt dans le champ éthique. S’ajoutent des leçons instructives pour penser le rapport entre positif et normatif en défendant la primauté de l’un (le positif, le plus souvent) ou de l’autre (le normatif, plus rarement), ou en les séparant. Force est de constater que les écoles de pensée les plus divergentes peuvent se rejoindre, voire s’accorder sur des positions inattendues. Favoriser le positif, voilà qui réunit des économistes d’écoles de pensée aussi influentes et diverses que les écoles marxiste, autrichienne ou de Chicago : celles-ci, et d’autres, trouvent leur place dans ce volume, ainsi que des approches méthodologiques variées (pragmatisme, bayésianisme, théorie des négociations).
S’il semble qu’un consensus valorisant les approches positives en économie y obère la recherche, à quoi est-il dû ? L’histoire de la pensée économique permet-elle de dégager quelques positions venant nuancer cette position ? Des perspectives philosophiques peuvent être adaptées à cet effet et l’importance des pratiques est également à relever, peut-être pour mieux valoriser les approches normatives en économie.Telles sont quelques-unes des approches traitées dans les onze contributions réunies dans cet ouvrage à partir d’un colloque tenu en décembre 2020.
a France est riche. La valeur de son patrimoine foncier s'élève aujourd'hui à 7 000 milliards d'euros, soit six années de revenu national, contre à peine une année après la Seconde Guerre mondiale. Comment expliquer cette hausse et à qui profite-t-elle ? S'agit-il d'une bulle immobilière un peu plus durable que les autres ? Et, sinon, quelles conséquences faut-il en tirer pour notre économie ?
Dans ce livre passionnant et minutieusement documenté, Alain Trannoy et Etienne Wasmer expliquent pourquoi la terre urbaine s'est considérablement valorisée au cours des trente dernières années, une tendance que la préférence française pour le foncier et les contraintes écologiques (le "zéro artificialisation") ne peuvent que conforter.
Alors que faire de cette manne providentielle ? Les auteurs proposent ni plus ni moins qu'une révolution fiscale.
Avec un objectif : diminuer fortement les impôts grevant l'activité économique, augmenter les salaires tout en soutenant l'accumulation du capital productif, afin de pérenniser notre modèle social.
Une proposition audacieuse, pour réconcilier justice sociale et efficacité économique.
Statistiques pour l'économie et la gestion offre une présentation synthétique et rigoureuse de l’ensemble des connaissances en statistiques !